MRTG Multi Router Traffic Grapher
2 Les
différents types d’analyse
3
MRTG : Multi Router Traffic Grapher
4.5
Interfaces et médias supportés par ntop :
Mise
en place de MRTG (utilisation de SNMP) RedHat
recommander pour un usage plus professionnel.
D’après mais recherche les
logiciels les plus pratique (performants) sont :
Pour les graphes :
-MRTG remplacer par RRDTOOL, CACTY petit dernier de la famille.
Pour la surveillance de
bande passante : -Ntop v3.
Pour la surveillance du
réseaux : -Netsaint remplacer par Nagios.
Pour la découvert du
réseaux : -cheops .
Cela consiste à mesurer
l’utilisation des activités majeures du trafic. Il est possible d’obtenir des
statistiques individuelles pour chaque machine d’un sous réseau ainsi que pour le
sous réseau dans sa globalité, grâce à une simple observation du réseau (mode
promiscuous).
Tous les paquets capturés
(ou "sniffés") sont détaillés pour obtenir la paire émetteur /
destinataire.
Cela représente la capacité
à identifier les situations lors desquelles le trafic réseau n’est pas conforme
aux
Politiques et règles
imposées par l’administrateur. Par exemple une station dépasse un seuil imposé,
car par exemple le système
d’exploitation, les interfaces réseau ou les applications logicielles sont mal
configurés.
Site web : http://people.ee.ethz.ch/~oetiker/webtools/mrtg/
Le Multi Router Traffic
Grapher (MRTG, Traceur de graphiques sur le Trafic Multi Routeur) est un outil
de métrologie réseau, qui permet de surveiller la charge sur les liens du
réseau. MRTG est codé en Perl et C, ce qui lui permet de fonctionner sous Unix
et Windows NT.
Il peut générer des pages
HTML contenant des images PNG qui fournissent une representation visuelle en
temps réel du trafic.
MRTG se base sur les
paquets SNMP (Simple Network Management Protocol) émis sur le réseau. Il est
aussi très performant pour
l’analyse des routeurs.
Avec MRTG il est possible
de surveiller :
– Les débits ADSL
– Le volume échangé sur la
connexion ADSL
– Le traffic sur le réseau
local
– Les temps de latence
– Les requêtes DNS
– Le nombre de connexion,
visites
– Le CPU, la mémoire et les
processus
– Une analyse complète des
requêtes et des réponses d’Apache
FIG. 3 – Analyse
du débit ADSL
Les différentes informations
obtenues en "sniffant" le réseau (mode promiscuous pour la carte
réseau) sont
regroupées et synthétisées
sous formes de graphiques. On peut uns si analyser les goulets d’étranglement
du réseau (bande passante, serveur, protocole, service, etc.) et y apporter des
solutions.
Moi je l’ai installé sur
une distribution SME (serveur Web). Il
faut utiliser la commande « cfgmager
public172.16.32.16 > /etc/mrtg/switch.cfg » pour crée un dossier graphe dans etc/mrtg
Chemin des scripts, puis
modifier la page de l’index pour ajouter notre graphe.
Pour aide voir : http://sme.swerts-knudsen.dk/index.html?frame=http%3A//sme.swerts-knudsen.dk/howtos/howto_6.htm%23Manual%2520MRTG%2520installation.
Site web : http://www.ntop.org/
Ntop délivre une quantité
impressionnante d'informations sur le trafic de votre réseau. Un bon
emplacement consiste à le placer avant votre routeur de sortie sur internet.
Vous pouvez ainsi observer pratiquement toutes les caractéristiques du trafic
(entrant et sortant). Pour cela, une interface web est proposée (ntop peut se
lancer également en mode ligne). Attention, Ntop peut poser des problèmes de
sécurité lorsqu'il est lancé avec l'interface web. Il y a eu deux avis du CERT-Renater concernant
les distributions RedHat
et Debian .(Pour mois RedHat avec ntop3).
Ntop est un outil
multiplateformes (Unix, Linux, Windows) d’analyse du réseau. Il permet
d’observer
l’utilisation du réseau
comme le fait la commande "top" sous linux pour les processus.
Ntop est un analyseur de
paquets hybride, car il n’est pas un pur analyseur Ethernet (couche 2) ni un
pur analyseur TCP/IP (couche 3).
Ntop se divise en deux
composants :
– le premier, dit
"ntop classique", comprend un serveur WEB;
– le second, dit
"intop" pour ntop interactif, est un "network shell" basé
sur le moteur ntop.
Ntop se comportant comme un
serveur Web, les utilisateurs peuvent accéder à ses fonctionnalités via
un navigateur Internet
(Opéra, Netscape,. . . ) et ainsi avoir une idée de la charge du réseau, et
l’état du réseau.
Habituellement il écoute
sur le port 3000 ; les statistiques seront donc accessibles à l’adresse http:
//hostname|ip:3000/ ou en https.
Cette interface Web, qui
permet la configuration et la visualisation des statistiques en temps réel, est
simple d’emploi et convient parfaitement au monitoring des réseaux.
Intop procure au sniffer de
packet, qui est le noyau ntop, une interface puissante et flexible.
Ntop ne peut être considéré comme un simple
navigateur Web, en considération de l’ensemble des fonctionnalité qu’il met à
disposition de l’utilisateur. Le moteur de ntop capture les paquets en premier
lieu, analyse le trafic et gère le stockage des informations. Intop assure au
final l’affichage des utilisations du réseau.
Ntop fonctionne dans un terminal ou bien en tant que démon (mode nécessaire pour l'interface web). Il est constitué de huit ou neuf processus (suivant les options) dont au moins un est constamment présent dans les processus actifs. Chacun prend la même quantité de mémoire, mais attention, ce chiffre augmente avec la quantité de trafic observé. Il est de 5% au lancement, et au bout d'un certain temps (dépendant de l'ampleur du trafic), il dépasse les 20%. Et certaines fois deux ou trois processus tournent pendant quelques instants en même temps. Vous devez donc penser soit à le réinitialiser assez souvent, soit à lui dédier une machine.
– Tri et affichage du trafic
réseau par protocole
– Tri et affichage du
trafic réseau en fonction de nombreux critères
– Affichage de statistiques
sur le trafic
– Stockage persistant des
statistiques trafic au format RRD
– Identification des
utilisateurs de "poste de travail" (par exemple par les adresses
mails)
– Identification passive de
l’OS de l’hôte
– Affiche la répartition du
trafic IP sur les différents protocoles
– Analyse du trafic IP et
tri en fonction de la source / destination
– Affichage de la matrice
de sous réseau du trafic IP (qui parle à qui ?)
– Rapport d’utilisation du
protocole IP trié par type de protocole
– Collecte les flots
générés par les routeurs et switchs
– Statistiques sur les
domaines internet, les VLAN (Virtual LAN)
– Décodeurs pour certains
protocoles P2P
– Génération de graphiques
– Différenciation multicast / broadcast / unicast
– Produce RMON-like network traffic statistics
– Statistiques de traffic
réseau similaire à RMON (sondes de mesure utilisant le protocole SNMP)
– Loopback (trafic de la
machine locale vers elle-même)
– Ethernet (y compris Wifi)
– Token ring
– FDDI
– PPP / PPPOE (PPP Over
Ethernet) : connexions par modem RTC ou ADSL
L’utilisation mémoire
dépend de la configuration de ntop, du nombre d’hotes, du nombre de session TCP
active. En général la
charge s’étend de quelques Mo pour un petit LAN à 100 Mo pour un WAN.
L’utilisation CPU dépend de la configuration de ntop et des conditions des
échanges.
Sur un poste standard, sur
un grand réseau LAN, elle est inférieure à 10%. Un avantage est que l’interface
Web est peu gourmande en CPU et en mémoire vive.
Protocoles supportés :
– IP, IPX
– TCP/UDP (FTP, HTTP, DNS,
Telnet, SMTP/POP/IMAP, SNMP, NFS, X11)
– Netbios
– OSI
– DLC (ex. : HDLC)
– AppleTalk, DecNet. . .
– -d : Ntop sera lancé en tant que daemon, c’est à dire
démarré en tâche de fond ;
– -S : Cette option indique à ntop qu’il doit sauver les
informations concernant le trafic lorsqu’il s’arrête.
Les valeurs possibles sont
: 0 = ne stocker aucun hôte, 1 = stocker tous les hôtes, 2 = ne stocker que les
hôtes locaux. Ainsi ntop ne
perd pas les statistiques du trafic au fur et à mesure des sessions ;
– -p
<protocols list> : renseigne sur
les protocoles à intercepter ;
– -i : interface interceptant le trafic ;
– -w
ip:3000 : adresse du serveur web, pour
rendre consultable les résultats sur le web ;
À tout endroit dans les pages web, en cliquant sur un nom de
machine, vous accéderez aux informations qui lui sont propres : son
adresse IP, la dernière fois qu'un paquet en rapport avec lui a été vu, son
domaine, sa Mac adresse, le vendeur, l'OS, le total des données échangées en
bits, le trafic local et externe et le routeur par défaut (figure 4)...
FIG. 4 |
informations sur un hôte |
puis les protocoles qu'il a utilisé (la figure 5 concerne un routeur)...
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et enfin trois tableaux : les dernières adresses contactées, les ports concernés et un historique des sessions IP (TCP et UDP) (figure 6).
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Vous observerez ici le trafic reçu et envoyé par chaque machine (pas seulement celles de votre réseau). Il vous est présenté à chaque fois en trois tableaux.
Le premier tableau vous donne, pour chaque adresse transitant sur le réseau, les protocoles qu'elle utilise (figure 7). Le deuxième ne prend en compte que le trafic IP. Vous savez ainsi pour une machine, le sevice employé : HTTP, FTP, Telnet... Le volume du trafic est donnée en Kb et en pourcentage. Le dernier tableau montre pour chaque adresse le volume instantané du trafic, la moyenne et le maximum atteint (en bits et en paquets par seconde).
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Sur ces pages sont regroupées les caractéristiques globales du trafic.
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Cette section et la suivante décortiquent le trafic sur IP. Celle-ci donne des informations sur le trafic venant de l'extérieur, sortant du réseau et le trafic local.
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Sur les pages Web suivantes, les informations présentées concerne le trafic IP suivant les protocoles de la couche application.
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Dans cette section se trouvent les commandes d'administration de ntop accessibles par le web. La page Switch NIC vous permet de changer l'interface d'écoute. Reset Stats permet de remettre à zéro toutes les statistiques. Vous pouvez également arrêter Ntop à partir du web, ajouter des utilisateurs, ainsi que des urls.
Ntop est un logiciel complet et stable. Il lui manque peut-être deux fonctionnalités pour être un analyseur professionnel : une sauvegarde des données et la visualisation des trames. On a parfois l'impression en parcourant les pages que l'information est redondante. Mais ce n'est qu'une impression. Tout tableau ou graphe n'est pas là par hasard. Ils sont tous utiles. En fait, tout dépend de l'information que l'on recherche
Merci à Cyrille B